samedi 30 décembre 2017

Disparition de deux géants du jazz

        Le mois de décembre a été marqué par la disparition de deux musiciens qui ont joué un rôle majeur dans l'avant-garde du jazz dès les années 60. Le batteur Sunny Murray et le tromboniste Roswell Rudd. Les collaborations de l'un et l'autre nous renvoient à toute cette époque du bouillonnement novateur du free jazz. Nous reviendrons ultérieurement sur la carrière de chacun d'eux.


 Le Jazz Est Là était présent en la personne de son président à la cérémonie au Funérarium du Père Lachaise où de nombreux amis musiciens sont venus dire au revoir à Sunny Murray, et pour plusieurs en musique !


jeudi 14 décembre 2017

Beau final 2017

 Belle énergie, beaucoup de swing, de dynamisme, une grande variété d'influences avec ce duo qui une fois de plus a ravi le public.
Bonne fin d'année à tous !


lundi 20 novembre 2017

Pour clore l'année : duo d'exception !


Depuis des années, ces deux musiciens font régulièrement les beaux soirs du Baiser Salé, club parisien de la célèbre rue des Lombards. Pas de routine pour autant. A chaque fois la complicité et le plaisir de jouer de ces deux talentueux musiciens sont au rendez-vous. Imprégnés chacun de tous les grands du jazz, mêlant leurs inspirations et influences diverses, c’est une musique d’un dynamisme sidérant et d’une inventivité permanente qui nous est offerte.
Mario Canonge est une légende vivante de la musique caraïbéenne, très demandé dans divers univers musicaux du fait de sa virtuosité, il est devenu un jazzman incontournable son talent de pianiste exceptionnel s’imposant à tous.
Michel Zenino conduit, parallèlement à sa carrière de sideman, des projets où il est à la fois compositeur et arrangeur, s’entourant de musiciens comme Christophe Monniot, Emyl Spanyi, Jeff Boubreaux que Le Jazz Est Là avait reçus en novembre 2016. Le public avait bien remarqué la virtuosité du contrebassiste qui se produit par ailleurs avec nombre de musiciens de talent.
La complicité de ces deux personnalités musicales leur permet de naviguer sans académisme entre tous les jazz, en toute liberté et pour le plaisir de jouer emportant les auditeurs dans leur passion communicative.
« Vivant, rythmé, varié et d’une bonne humeur » Citizen Jazz
« Une magistrale leçon de piano bop…. Un swing d’une rare intensité, servi par une mise en place d’une précision diabolique » Jazz-Mag
« En un mot….indispensable » Michel Contat Télérama
Alors ne manquez pas ce rendez-vous pour clore magnifiquement cette année de concerts 2017 !






mardi 26 septembre 2017

Magnifique concert de rentrée !






  Le public est venu nombreux pour découvrir la création de Michel Edelin qui a mis ses talents de compositeur au service d'interprètes de grande qualité, et dans ce bouillonnement collectif avec beaucoup de temps forts, chaque intervenant a pu livrer de grands moments d'improvisation mettant en relief chaque personnalité bien affirmée. Sophia Domancich et Sylvain Kassap, nouveaux venus pour Le Jazz Est Là ont fait grande impression.


samedi 26 août 2017

Evénement de rentrée : création "Echos d'Henry Cow" de Michel Edelin


Entouré de musiciens qui occupent une place de choix sur la scène actuelle du jazz et dont la carrière est marquée par des collaborations de haut niveau, Michel Edelin a choisi de présenter sa création au public de Le Jazz Est Là. J’ai repris quelques éléments thématiques de Henry Cow et de son avatar Art Bears, je les ai adaptés à l’instrumentation spécifique de notre quintette et accompagnés de musiques additionnelles qui introduisent, soulignent ou concluent ces références originelles. Enfin, j’ai défini des structures et écrit des arrangements destinés à servir notre orientation esthétique et à proposer aux intervenants de larges champs d’improvisation. Avec cette très belle équipe, il pourrait bien nous emmener vers des rivages musicaux hors du commun, avec cette re-lecture jazzistique d’une formation devenue « mythique » qui fut dans les années70 l’avant- garde des groupes de rock « progressifs ou alternatifs » qui se positionnaient loin de l’aliénation des circuits commerciaux, inventant une musique plus complexe, plus inventive, plus ouverte.


lundi 24 juillet 2017

Albert Ayler..... un vrai festival !


mercredi 28 juin 2017

Chronique Jazz-Hot du CD de Sylvia Howard

 Classé dans les indispensables, le CD "Time Expired" de Sylvia Howard reçoit les éloges de la presse spécialisée.


Sylvia Howard Quartet

Time Expired


Please Don't Talk About Me When I'm Gone, The Days of Wine and Roses, It's De-lovely, Make Me Rainbows, You Stepped Out of a Dream, The Best Is Yet to Come, Time Expired, Moon River, Moon River, Nobody Else But Me, I'm Just a Lucky so and so, Minor Deeds
Sylvia Howard (voc), Tom McClung (p), Peter Giron (b), John Betsch (dm)
Enregistré le 16 septembre 2016, Saint-Gilles (30)
Durée: 1h 00' 17''
Blue Marge 1016 (
http://futuramarge.free.fr)
Time Expired... Le titre de cet album raisonne étrangement alors que deux de ses protagonistes nous ont quitté très récemment: son producteur, tout d'abord, Gérard Terronès, disparu le 16 mars, et dont Time Expired aura été l'ultime référence, sortie de son vivant, a s'être ajoutée au riche catalogue Futura-Marge; et le pianiste du quartet, Tom McClung, qui s'est éteint le 14 mai, et dont c'est probablement le dernier enregistrement. Les deux hommes, avant de quitter ce monde, ont ainsi eu le temps d'offrir à Sylvia Howard un inestimable cadeau: un disque superbe, (enfin) à la hauteur de son talent. Certes, les deux premiers opus en leader de la grande Sylvia restent très agréables à écouter (elle y est accompagnée par la sympathique formation -essentiellement composée de musiciens amateurs- du regretté Christian Bonnet, également décédé dernièrement). Mais pour avoir maintes fois entendu la chanteuse sur scène avec d'excellents jazzmen, il nous tardait qu'elle parvînt enfin graver sur microsillons une collaboration de haut niveau. C'est donc chose faite, et avec des familiers, issus de la toujours vivace communauté américaine de Paris. Time Expired est un live tiré d'un concert organisé au Prieuré d'Estagel, dans la région nîmoise, par l'association «Le Jazz est là» et dont le président, Patrice Goujon, partageait le souhait de donner à Sylvia Howard l'occasion de s'exprimer dans les meilleures conditions. Le projet fut donc mené en partenariat avec Gérard Terronès pour aboutir à une sortie sur CD. Dès le premier titre, «Please Don't Talk About Me When I'm Gone», Sylvia Howard affirme une présence incandescente, alliant une puissance quelque peu rocailleuse, venue du gospel, et une sorte de brisure blues au fond de la voix qui vous étreint des les premières notes. Quelle chanteuse! Toute l’histoire de la musique afro-américaine filtre à travers ses cordes vocales. Et pour notre plus grand bonheur, la section rythmique est magnifique. Notre cher Tom McClung déroule un accompagnement ciselé sur les ballades, avec des solos aériens, emplis de poésie («The Days of Wine and Roses», «You Stepped Out of a Dream» ou «Time Expired», mélancolique composition de la chanteuse). Il est évidemment aussi très à son aise sur le blues («I'm Just a Lucky so and so»), se posant comme le partenaire privilégié de la diva, impériale sur ce registre. Le soutien discret de Peter Giron, relève également de l’orfèvrerie swing, tandis que John Betsch, ici d’une remarquable délicatesse, fournit un habillage rythmique scintillant. On se fait d’ailleurs plaisir à savourer le dernier titre de l’album (un bel original du pianiste, «Minor Deeds»), sur lequel la leader s’est effacée pour nous permettre d’apprécier le trio.
Ce
 Time Expired nous laisse ainsi entre le bonheur de tenir ici un disque très réussi  qui s’inscrit dans la mémoire discographique des relations fécondes unissant les artistes américains établis en France et les acteurs hexagonaux du jazz, et la tristesse d’être à présent définitivement privés de la possibilité de ressentir «en vrai» l’osmose de ce quartet épatant. 
Avec le temps va, tout s’en va…
Jérôme Partage

© Jazz Hot n°680, été 2017

http://www.jazzhot.net/PBCPPlayer.asp?ID=1865305#Sylvia%20Howard



Rappelons que le CD est disponible auprès de Le Jazz Est Là.



  Vous le trouverez également chez :

                 - Book'in  17 boulevard Courbet Nîmes
                 - Domaine du Prieuré d'Estagel St Gilles
                 - Hôtel des Tuileries  22 rue Roussy Nîmes
                 - restaurant l'Estanco  7 Rue des Marchands Nîmes
                 - Actes Sud musique place Nina Berberova Arles
                 - Black and Blue  1 Rue de la Carbonnerie Montpellier
                     - Sauramps 2 Place Saint-Jean Alès
                     - Come Prima 18 Rue de la Bonneterie Avignon

mercredi 14 juin 2017

Beau final avec le quartet de Bernard Jean !

Très belle soirée pour clore la saison : une musique magnifique et prenante de bout en bout avec des musiciens affichant leur plaisir de jouer devant un public venu nombreux pour ce rendez-vous exceptionnel. Tout le monde y a trouvé son bonheur ! Alors, rendez-vous à tous en septembre pour les concerts avec Le Jazz Est Là.

lundi 15 mai 2017

Il va nous manquer !

Le pianiste Tom Mac Clung nous a quittés dans la nuit du13 au 14 mai suite à une longue maladie. Vous êtes nombreux à l’avoir entendu ici à Nîmes puisque nous l’avions invité à plusieurs reprises : en 2011 en duo avec Jean-Jacques Elangué, en 2014 en trio avec Mourad Benhammou et Matyas Szandai et plus récemment pour l’enregistrement du concert de Sylvia Howard en 2016, et un magnifique duo en janvier dernier avec Bobby Few. On avait pu aussi l’entendre aux côtés d’Archie Shepp à Junas. Pianiste remarquable au jeu très inventif, mélodique mais aussi audacieux, influencé par ses pianistes favoris Thelonius Monk et Mal Waldron, c’était aussi un personnage très attachant, sensible, chaleureux, un ami pour beaucoup d’entre nous. Toute l’équipe de Le Jazz Est Là qui a eu l’occasion de le fréquenter (en particulier en septembre dernier) est très touchée par sa disparition. Il nous reste sa musique. Nous ne l’oublierons pas !
Patrice Goujon le 15 mai 2017


photo par Jarou 

samedi 13 mai 2017

Dernier concert avant l'été : ça va chauffer !


Pour ce dernier concert avant l’été, Le Jazz Est Là reçoit le vibraphoniste Bernard Jean qui s’entoure pour l’occasion de musiciens qu’il connaît de longue date et dont la carrière s’est forgée au travers de collaborations avec de grands noms du jazz. Sangoma Everett enregistre et se produit aux côtés du pianiste Kirk Lightsey avec Ricardo Del Fra Fresh Air, avec Mal Waldron et Cecil Mc Bee, il joue dans le quartet de Clifford Jordan, aux côtés du regretté Joe Lee Wilson qui affectionnait particulièrement son jeu. Il est le batteur de La Note Bleue avec Barney Wilen, Alain Jean-Marie… Mario Stantchev fait ses débuts au piano avec un quartet célèbre en Bulgarie. En France, très actif à l’IMFP de Salon de Provence et au Conservatoire de Lyon, il a l’occasion de fréquenter Ron Carter, Daniel Humair, Enrico Rava… Louis Petrucciani enregistre en 1989 avec Sangoma et Horace Parlan, avec Mario Stantchev en 2004, Bobby Few, Sangoma, Talib Kibwe sont à ses côtés dans Egyptian Oasis en 1986… Réunis par le vibraphoniste dont le jeu bien personnel met en relief toutes les subtilités de l’instrument au profit d’une musique bien collective propulsée par l’énergie de chacun, on peut s’attendre à un grand moment !
Patrice Goujon







lundi 24 avril 2017

Exposition BRUXELLES au Hors Série : JAZZ NEW-YORK POESIE

Si vous êtes à Bruxelles, venez voir mon exposition et invitez vos ami(e)s de l'art et surtout du bon JAZZ!

Hors-Série, 67 rue du Midi, Bruxelles  


Nous avons le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition "Jazz, New York, Poésie" de Ton van Meesche au magasin Hors-Série le jeudi 27 avril à partir de 18h30 !

Fou de jazz, Ton essaye au travers de ses peintures de saisir l'énergie et le mouvement de cette musique où la liberté et la créativité occupent une place prépondérante, avec l'objectif affiché de faire "swinguer" ses œuvres.

"Faire des aquarelles me donne souvent les mêmes impressions que la musique de jazz, parce que c'est un façon de peindre, qui a beaucoup moins de «  règles » que la peinture à l'huile. On peut aussi s'exprimer avec plus de liberté et de créativité . Mon professeur, le néerlandais Cor Hak de Haarlem (Pays-Bas) me disait souvent: » faire des aquarelles c'est excellent pour des gens libres, pleins de créativité, mais il faut oser utiliser les couleurs vives et surtout il faut s'arrêter de peindre avant d'en avoir envie , sinon l'image va manquer de l'expression libre. »"

On vous attends nombreux, n'hésitez pas à relayer ce mail et à inviter vos amis sur l'évènement Facebook (lien plus bas) !

INFORMATIONS

- L'exposition s'étendra du 28 avril au 22 juin.

- Vernissage le jeudi 27 avril à partir de 18h30. Venez partager un verre avec nous en présence de l'artiste !

- L'exposition aura lieu à la boutique Hors-Série, au 67 Rue du midi 1000 Bruxelles

- Plus d'informations sur Ton Van Meesche sur son site internet: www.tonjazz.eu ou sur son Facebook (Ton Van Meesche)


- N'hésitez pas a suivre le Facebook du magasin: https://www.facebook.com/horsserieshop/



jeudi 6 avril 2017

Ciné-Concert Samedi 22 Avril 21h

 Ces trois musiciens ont chacun une carrière marquée par de nombreuses expériences dans des univers artistiques variés, ce ciné-concert en est l’illustration.
Victor Sjöström est le père du cinéma suédois. Chaplin le considérait comme le meilleur metteur en scène du monde. Il tourne en 1924 aux Etats-Unis l’un de ses chefs-d’œuvre. L’histoire de ce scientifique qui giflé et trahi, survit en devenant clown, « le clown qui reçoit des gifles » atteignant ainsi la gloire par le geste qui fut sa chute, nous touche incroyablement, parce qu’elle parle d’une manière forte, profonde et subtile, de l’amour, de l’humour, et de la terrible ironie de la vie. La finesse de réalisation, l’incroyable créativité de Sjöström, la profondeur et la simplicité de cette histoire font de ce film une terre extrêmement fertile pour la musique.
« Une musique qui cisèle l’émotion et relève le drame qui se noue sur la toile » Ouest-France
« Les larmes du clown est une musique poignante, intense. Elle n’accompagne pas le film, elle fait jeu avec lui. Elle s’improvise par touches légères ou graves, ne souligne ou ne surligne jamais. Elle est là magnifique, magnétique » Luc Bouquet Impro-jazz 2010
UNE SOIREE A NE PAS MANQUER !


vendredi 31 mars 2017

"Time Expired" Sylvia Howard quartet Le CD EST SORTI !


    Le CD du quartet de Sylvia Howard enregistré au Domaine du Prieuré d'Estagel en septembre dernier par Gérard Terronès pour son label Futura et Marge est disponible.

 Vous pouvez le commander auprès de Le Jazz Est Là en nous envoyant un mail à  lejazz.estla7@gmail.com

    Ce concert avait été organisé par notre association. Gérard qui tenait à faire cet enregistrement  nous a quittés tout dernièrement. Nous souhaitons diffuser largement ce qui constitue son dernier travail pour le jazz.




mardi 28 mars 2017

Healing Unit c'était le samedi 25 mars

                                        Autres photos de ce grand concert sur la page photos

dimanche 19 mars 2017

Gérard Terronès nous a quittés


 Notre ami Gérard Terronès producteur du label Futura et Marge depuis 1969 est décédé dans la nuit du 17  mars. Il a consacré sa vie au jazz avec un esprit libertaire et la volonté affichée d’être indépendant. Avant son hospitalisation récente, il réglait encore les derniers détails pour la sortie du CD du concert du quartet de la chanteuse Sylvia Howard qu’il était venu enregistrer au Domaine du Prieuré d’Estagel en septembre dernier, de façon méticuleuse comme il l'a toujours fait, toujours très attentif à tous les acteurs du travail accompli, soucieux de réaliser quelque chose de parfait. La plupart des grands noms du jazz sont sur son label dont la quasi-totalité des enregistrements sont en « live ». Venant d’abord du blues, comme il tenait toujours à le rappeler, il s’ouvre rapidement aux courants nouveaux pour lesquels il prend tous les risques pour faire vivre cette musique, toujours à la recherche de quelque chose de nouveau, d'original. Il aura œuvré jusqu'au  bout de ses forces gardant le même esprit que celui qui l’animait au tout début de sa carrière. C'est une grande figure du jazz qui s'en va. Il nous reste à offrir la mémoire de l'immense oeuvre accomplie avec le souffle d'un esprit ô combien libertaire.
Patrice Goujon le 19 mars 2017
(voir lien avec le label Futura et Marge + rubrique article "Jazz-Hot"  N°383 avril 1981
article de Patrice Jannel)

dimanche 5 mars 2017

Prochain concert : "Healing Unit" samedi 25 mars 21h



Cette formation nous plonge avec bonheur dans le sillage des grands maîtres de ce qu’on a appelé la Great Black Music dont elle revendique l’héritage comme Eric Dolphy, Andrew Hill, Steve Lacy, Charlie Mingus, l’Art Ensemble of Chicago… ce qui est finalement assez rare aujourd’hui dans le jazz en France. Nous sommes les fruits de cette culture riche et ouverte  explique Paul Wacrenier qui signe les compositions. Nous poursuivons cette démarche qui consiste à produire une musique puissante, parlante, généreuse, en nous appuyant sur la force de la mélodie et l’énergie du swing. Dès les premières mesures, il se passe quelque chose d’inouï avec ces musiciens marqués par la tradition de liberté, le désir d’émouvoir et le plaisir affiché de créer tout en faisant parler à travers eux ceux qui les ont inspirés .« Une musique toute en tension contrôlée, propulsée par une rythmique au drive incontestable » JazzMag/JazzMan. «  Une musique qui séduit ,originale, créative et sans esbrouffe » Jazz à Paris. Sans compter que l’énergie de chaque membre de cette formation qui manifeste une personnalité bien affirmée contribue à un jeu collectif plein de ferveur. L’album « Music to Run and Shout » nous a ravis de bout en bout, alors en concert ! Voilà donc encore une belle occasion d’écouter une formation loin des courants dominants et qui s’inscrit en toute logique dans la lignée des concerts de Le Jazz Est Là.   


mercredi 8 février 2017

L'EVENEMENT à venir : vendredi 3 mars "Hope" quartet

            Henri Texier a à peine 20 ans lorsqu’il côtoie dans les clubs parisiens des maîtres comme Bud Powell, Kenny Clarke, Dexter Gordon, Lee Konitz et tant d’autres. S’engouffrant avec d’autres musiciens français dans la nouvelle voie ouverte dans le jazz des années 65/70 avec  des musiciens comme Michel Portal, François Jeanneau, Daniel Humair, Bernard Lubat, Bernard Vitet, JL Chautemps…. il ne cesse d’élaborer, cinquante ans durant, des projets toujours construits avec  le goût de la découverte et de rencontres fortes comme c’est le cas avec ce  Hope quartet .
                            Réunis par Sébastien Texier pour une carte blanche sur la péniche l’Improviste à Paris, les musiciens très vite sont transportés par l’alchimie de  la rencontre  les enchantant tout autant que le public. Avec Louis Moutin, le nouveau venu, l’enregistrement est « du jazz sur le vif » explique Henri Texier : avec ces « compagnons inspirés et créatifs, gais et profonds, virtuoses et sensibles, fantasques et concernés, nous pouvons partir à la découverte de nouveaux espaces et continuer d’être des sculpteurs du temps qui passe ».

Réservation indispensable 04 66 64 10 25 ou lejazz.estla7@gmail.com




lundi 30 janvier 2017

Duo Bobby Few/Tom Mc Clung : un moment magnifique !

 Deux fortes personnalités, deux musiciens avec toute l'histoire du jazz dans les doigts, deux complices livrant une musique exceptionnelle qui a ravi le public.


photo par Jarouphoto: autres photos de ce concert sur le page photos

lundi 2 janvier 2017

MEILLEURE ANNEE POSSIBLE 2017 POUR TOUS !

Concert du 21 janvier : un bon début 




           Ces deux pianistes que Le Jazz Est Là a déjà invités à plusieurs reprises dans des formations différentes ont toujours reçu un accueil très chaleureux du public compte tenu de la forte personnalité de chacun et de leur style très personnel. Tom Mc Clung nous avait ravis en 2011 en duo avec le saxophoniste JJ Elangué, avec son trio en 2014 avec Matyas Szandai et Mourad Benhammou, ou encore récemment aux côtés de Sylvia Howard. Bobby Few a fait le 1er concert de notre Association en 2009. On le retrouve deux ans plus tard en duo avec Harry Swift, puis en quartet avec Rasul Siddik en 2014… La réunion de ces deux pianistes est donc un événement, car si la formule a bien sûr déjà existé, elle reste néanmoins assez rare. Deux pianos occuperont la scène pour que, après que chacun se soit exprimé en solo, les deux musiciens se livrent à l’exercice difficile du duo que seuls des musiciens de haut niveau et suffisamment complices peuvent réussir admirablement. Mais avec ces deux-là, on ne peut attendre que le meilleur !